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Tag - Communication

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mercredi, mars 15 2023

Vidéo de la balade commentée "La Jaguère : son histoire, son présent, son futur" #JMZH2023

Une fois de plus, pour la Journée mondiale des zones humides et pour le groupe local Europe Ecologie-Les Verts de Rezé, j'ai organisée une balade commentée filmée par mon collègue François Nicolas, toujours sur la commune de Rezé. Cette fois-ci, j'ai fait découvrir aux habitants un ruisseau et ses zones humides : La Jaguère : son histoire, son présent, son futur.

jeudi, juillet 7 2022

Mon incursion dans la vidéo (2018-2023)

2018

Dans le cadre des synergies que j'ai développées entre les acteurs des zones humides et les acteurs de l’éducation à l’environnement, j'ai contribué et participé au jury d'Explorateurs de l’eau, programme ludo-éducatif qui sensibilise les jeunes de 8 à 14 ans aux enjeux de l’eau, à partir de 2016 et jusqu'en 2019, date de la fin de ce programme.

En juin 2018, lors de la sélection du collège Saint Joseph du Loquidy (Nantes) pour représenter la France lors de la finale à Londres, une vidéo a été réalisée. Mon incursion y est brève, 1 seconde où l'on me voit applaudir, mais j'en profite pour mettre en avant via cette vidéo ce beau projet :
Explorateurs de l'eau : des défis ludiques et pédagogiques pour les jeunes !  

2020

Lors de la pandémie de coronavirus et du confinement qui en a découlé, l'animation de la Fête des mares a pris la décision de digitaliser l'évènement pour lui permettre de se maintenir. A cette occasion, j'ai réalisé avec les moyens du bord deux vidéos :

Grégoire MACQUERON, 2020 - Pourquoi les zones humides disparaissent ?



Une zone humide, c'est quoi ?, inédite pour des raisons de synchronisation son-image (mais rushs retraités en 2022 par François Nicolas).

2021

En 2021, j'ai réalisé 3 vidéos pour la Fête des mares :
Quelle est la différence entre une mare, un étang et un lac ? 

Une mare qui s'assèche, est-ce un problème ? 


Peut-on introduire des poissons dans sa mare ? 

J'ai aussi organisé une rencontre avec l'eurodéputé Benoît Biteau, le think tank du Groupe Zones humides et d'autres personnes

La nouvelle politique agricole commune (PAC) 2021-2027 et l'agriculture en zone humide


J'ai aussi contribution au diaporama sur les solutions fondées sur la nature et les mares avec Christophe Eggert à l'occasion de la table ronde sur les solutions fondées sur la nature de la Fête des mares 2021 (vidéo).


Enfin, dans la cadre du groupe local Europe Ecologie-Les Verts de Rezé, j'ai réalisé une balade commentée et filmée sur la mare et les prairies humides de la Sèvre nantaise :

Une zone humide au cœur de Rezé - Balade commentée par Grégoire à l'occasion de la Fête des mares 2021, filmée par François Nicolas.

2022

Cette année-là, à l'occasion de la Journée mondiale des zones humides, j'ai réalisé pour le groupe local Europe Ecologie-Les Verts de Rezé une conférence en pleine nature sur la notion des services écosystémiques apportés par les zones humides à la commune :

Des zones humides pour la commune, la commune pour les zones humides JMZH EELV 2022

2023

Une fois de plus, pour la Journée mondiale des zones humides, j'ai organisée une balade commentée filmée par mon collègue François Nicolas, toujours sur la commune de Rezé. cette fois-ci, j'ai fait découvrir aux habitants un ruisseau et ses zones humides : La Jaguère : son histoire, son présent, son futur.

mercredi, août 8 2012

Revues de transfert et de diffusion - Note de lecture

En creusant le thème des revues de transfert et de diffusion, je suis tombé sur un rapport canadien intitulé La science, comment s’y retrouver ? – Revue systémique des écrits sur le transfert de connaissances en éducation (2008).

À la lecture de ce document, il apparaît que la spécificité de ce type de revues est son lectorat : elles s’adressent à un public d’utilisateurs, de praticiens. C’est le cas par exemple de la revue Sciences Eaux & Territoires de l’IRSTEA (ex-Cemagref).

Ce lectorat cible conditionne donc la stratégie de diffusion et de construction d’une base d’abonnés. La présence en kiosque, l’existence d’un tarif « jeune » (à moins de viser des étudiants-futurs praticiens) ne semble pas être les meilleurs choix, tandis que viser les institutions, les professionnels, les centres de documentation technique est plus judicieux.

Ce qui suit est destiné à aider les éditeurs de ce type de revues à se concentrer sur l’essentiel pour accroitre la qualité de leurs revues et augmenter leur diffusion: les objectifs de la revue, les facteurs de réussite du transfert et de la diffusion des connaissances, ce qui doit être transférer et la manière de la faire

Résumé de La science, comment s’y retrouver ?– Revue systémique des écrits sur le transfert de connaissances en éducation (2008, Canada, 47p).

La_science_comment_s_y_retrouver.PNG

L’objectif du transfert de connaissance :

(p37-39) Sur le plan individuel : le but est de rompre l’isolement des praticiens (entre eux, avec la recherche), de favoriser l’acquisition de connaissances, l’amélioration des pratiques et des performances (et donc la conservation et la préservation de la nature pour les revues sur les sciences de la nature) et le développement personnel et professionnel, le partage d’expériences & de connaissances, l’ouverture au changement et à la prise d’initiative.

(p39-41) Sur le plan organisationnel : l’objectif est la création et l’intensification des contacts et collaborations Chercheur-Utilisateur et Utilisateur-Utilisateur (sources de motivation et amélioration pour les deux), l’amélioration des performances environnementales des organismes, l’amélioration de la gestion des ressources (utilisation des outils, aide à la décision éditoriale) des agents de liaison.

Les facteurs de réussite

Selon le rapport canadien, les éditeurs des revues de transfert et de diffusion sur les sciences de la nature sont des agents de liaison (« gestionnaires », autres exemples possibles : Fédération des parcs naturels, Fédération des conservatoires, FNE…) entre les chercheurs et les praticiens. Les facteurs de succès indiqués sont :

Des facteurs individuels (p6) :

  • l’expérience personnelle en matière de transfert de connaissance (passé dans l’édition, dans le journalisme scientifique, dans le milieu universitaire scientifique ?). Le corolaire est la participation favorisée par la structure aux conférences en communication & transfert, en recherche scientifique (p26-27) ;
  • la capacité cognitive (formation supérieure, capacité à réfléchir et à jugé face à l’info, faire de la veille) (p27) ;
  • le capital relationnel (son réseau et sa capacité à agir, en particulier les liens avec la recherche et les praticiens) (p27-29) ;
  • les facteurs personnels (motivation & enthousiasme, intérêt et attitude positive envers la recherche, « leadership du transfert », ouverture au changement, etc.) (p29).

Des facteurs organisationnels :

  • les caractéristiques organisationnelles : culture favorable aux contacts avec les chercheurs et praticiens, formalisation et centralisation moindre, climat d’appui de la structure et des collègues, expérience du milieu de la recherche (p30) ;
  • les ressources organisationnelles déployées pour le transfert (stratégie, processus, gestion, clients, etc.) : ressources humaines (internes) et financières (physiques), temps consacré à la lecture, à la compréhension et à l’utilisation des infos (p30-31) ;
  • les réseaux de contacts : favoriser et être à l’écoute des échanges entre chercheurs et utilisateurs, soutien externe (lien avec le milieu de la recherche –universités, laboratoires et instituts–, avec le milieu académique & scolaire via des communautés de pratique, fichiers abonnés et presse, partenaires…) (p31) ;
  • les politiques organisationnelles pour soutenir le transfert : soutien et reconnaissance, formation continue en recherche scientifique, etc. (p31-32).

Les étapes du transfert de connaissance de l’agent de liaison

Cf. p. 21-25, tableau 3 p. 24.

La réception des connaissances :

Un bon agent de liaison doit être capable de reconnaître la valeur de l’information récoltée (grâce aux comités de relecture experts par exemple ?) et être capable de faire remonter les besoins des praticiens (Peut-être via le courrier des lecteurs et l’incitation à écrire à la rédaction, par des enquêtes/sondages, par l’écoute des tendances & travaux sur ces besoins ?).

L’adoption des connaissances :

L’éditeur doit pouvoir avoir sa propre idée sur la valeur de l’information, sur sa pertinence pour les praticiens, et donc pouvoir choisir de retenir/mettre en valeur une information (grâce aux connaissances du secrétaire de rédaction, du rédacteur en chef, du comité de relecture).

Ex. d’info à exploiter : une connaissance propre à une discipline (botanique, zoologie…), des bonnes pratiques et des échanges de pratiques pour innover, une connaissance pratique, une réponse aux questions et enjeux actuels.

Idée pour ces 2 points : former un comité de lecture ou de conseils dans le choix des articles/sujets/dossiers rassemblant chercheurs et praticiens (enseignant, documentaliste, technicien-conservateur, étudiant en master, etc.). Cela peut se faire par des réunions, des webconférences via skype, une liste de discussion, un forum, etc.

Autre possibilité : dynamiser une communauté de lecteurs pour avoir un max. de retours (avis sur ce qui est publié, tant sur le fond que la forme, suggestions de sujet/dossier, attentes et questions des lecteurs, etc.). Cela peut être fait avec les mêmes outils ou encore avec un blog, une association locale de lecteurs…

3e voie : les échanges avec les pairs, avec les autres acteurs du transfert et de la diffusion (autres revues –ex : Espaces naturels–, sites web –ex : ornithomedia.com ; Tela botanica–, centres de documentation, éditeurs –EDP Sciences–, Fédération des conservatoires, etc.) via des rencontres, séminaires, ateliers, courriels, rapports…

L’adaptation des connaissances :

C’est la capacité à transformer l’info fournies par des chercheurs pour la rendre accessible et utilisable par les praticiens (ex : en jouant sur le format d’article, le vocabulaire, en traduisant des textes, en les synthétisant, en les illustrant d’infographies…).

Ex. d’accessibilité : être disponible facilement (dans les centres de documentation des praticiens, sur Internet, dans la presse professionnelle…), adopter un langage clair, sans ambigüité et illustré d’exemples concrets.

Ex. d’utilisabilité : être en concordance avec le contexte des utilisateurs (valeurs, expériences, structure, ressources disponibles).

La dissémination des connaissances vers les praticiens :

C’est la capacité à transférer les résultats de la recherche adaptés vers les praticiens.

Ce qui est transféré

Les connaissances à privilégier, car recherchées par les praticiens, sont celles destinées à l’enseignement & à la formation (cours et programmes), à réduire les risques au cours des prises de décisions (« données probantes »), à mieux se représenter son environnement professionnel (des concepts et des données) et enfin à améliorer les relations interpersonnels (mieux comprendre les différents praticiens-partenaires et mieux communiquer avec eux).

Les mécanismes de transfert

2 mécanismes sont efficaces : ceux d’information et ceux d’interaction (tableau 5 p38).

Mécanismes d’information

(p35-36) C’est la captation des connaissances de la recherche sans interaction personnelle avec d’autres acteurs. C’est notamment la veille informationnelle auprès des producteurs de connaissance (recherche et expérimentations de praticiens) et la dissémination via la documentation des bonnes pratiques et les innovations à destination des praticiens (support technologique, document écrit, article scientifique, bulletin d’info, guide de bonnes pratiques...).

Mécanismes d’interaction

(p36-37) Ce sont les mécanismes d’échanges entre chercheurs et praticiens, via des alliances & collaborations inter-organisations qui permettent de faire remonter les besoins des utilisateurs et de transmettre les résultats des recherches, ainsi que d’évaluer ces résultats et de favoriser leurs applications.

C’est aussi un moyen de partager les expériences des praticiens, de les intégrer dans une réflexion collective et de les conceptualiser.

Les moyens sont la formation, la collaboration et l’apprentissage qui en découle. Le rôle de l’agent de liaison est alors de faire connaître et d’inciter à participer aux formations, aux projets de collaborations ou de participation à la recherche, aux ateliers d’échanges, aux séminaires & conférences, aux réseaux…

Idée : mettre l’accent sur ce dernier point dans l’agenda des revues ; dans la rubrique Publications ; en tirer des articles (compte-rendu, témoignage, présentation) ?

Idée de partenaires en sciences de l’environnement : les organismes de formations (ATEN, CNFPT, lycées techniques, IUT-IUP-Universités et écoles d’ingénieur en agronomie…) ; réseau de praticiens IDEAL Biodiversité, l’UICN, FNE, FPNR, RNF, Rivages de France, etc. ; organismes de recherche : Muséum, INRA, IRSTEA, Universités & laboratoires, Sociétés savantes (et la FFSSN), IFREMER

Référence

Landry, R., Becheikh, N., Amara, N., Ziam, S., Idrissi, 0., & Castonguay, Y.. La recherche, comment s’y retrouver ? Revue systématique des écrits sur le transfert de connaissances en éducation. Québec : Ministère de l’Éducation du Loisir et du Sport, Gouvernement du Québec, 2008.

dimanche, août 5 2012

Revue scientifique, revue de vulgarisation ou revue de transfert et diffusion ?

Quelle est la différence entre ces trois types de revue ? Elle est dans le lectorat ciblé et donc dans les objectifs attendus vis-à-vis de ce lectorat. Ceci conditionne ainsi le contenu des revues et la forme adoptée par leurs articles.

Revue à destination des scientifiques

La revue scientifique, en dehors de parler de science, ce qui est évident, s’adresse aux scientifiques. Sa mission est donc de transmettre des savoirs à des spécialistes.

Nature_-_Revue_scientifique_-_no1-1869.jpg

Nature, revue scientifique née en 1869 - Couverture du n°1. © Nature - Source: Wikipédia
Cette revue est l’une des revues scientifiques internationales les plus prestigieuses.

Elle doit donc respecter les principes de la démarche scientifique: hypothèse de départ suite à une observation, référence aux travaux antérieurs validés, expérimentation reproductible, collecte de des résultats, analyse et interprétation, discussion sur les limites des conclusions obtenues. Ces principes, rigoureux, sont nécessaires pour pouvoir ensuite prouver les assertions d’un chercheur. Sans cela, ce ne serait plus de la science.

La structure des articles scientifiques découle de cela et c’est cette rigueur qui, hélas, rend les rend en général si indigeste, même si certains chercheurs peuvent exceller dans la rédaction d’article ch… , comme le montre K. Sand-Jensen dans How to write consistently boring scientific literature (découvert via Enro).

Revue pour le grand public et les néophytes

La revue de vulgarisation vise un tout autre public (quoique…): la société dans son ensemble, c’est à dire le grand public. Celui-ci s’intéresse à la science, ou on lui inculque des éléments de connaissance scientifique pendant son éducation, parce qu’il vit dans un monde complexe et éminemment scientifique: effets positifs ou (parfois “et”) néfastes des médicaments, des produits de nettoyages, des additifs alimentaires, des émissions des matériaux ou des machines, de l’environnement… Désormais, le discours des décideurs, des commerçants, des médias s’appuie et utilise, parfois à mauvais escient, sur la science pour présenter et expliquer leurs actions. Le citoyen a donc besoin d’être en mesure de comprendre ce qu’on lui “vend” et, plus difficile encore, de trier le bon grain de l’ivraie dans tout le discours qu’on lui sert.

La_Hulotte_-_revue_de_vulgarisation_nature_no_97.jpgLa hulotte, revue de vulgarisation le plus lu dans les terriers. © La hulotte
L’humour des textes et des dessins est l’un des principaux moyens de médiation de cette revue.

C’est ici qu’intervient la vulgarisation –ou médiation– scientifique, notamment au travers de la revue de vulgarisation. Le contenu de cette revue doit donc être accessible à ce public dont les connaissances scientifiques sont limitées, au moins dans certains domaines (et ce même pour un chercheur, un biologiste n’étant souvent guère familier avec la physique quantique). L’essentiel du travail est donc dans l’écriture d’un texte qui parle au lecteur: facile et agréable à lire, en phase avec la réalité des lecteurs, avec de nombreux exemples concrets, etc. sans oublier les illustrations, en particulier les infographies ! Tout est fait pou faciliter la compréhension du sujet scientifique: ses enjeux, ses applications, ses limites.

Revue pour les praticiens

Dernier type de revue, celui des revues de transfert et de diffusion. Ici, le public est l’utilisateur des résultats de la recherche et des réflexions. On parle aussi de revue professionnelle ou de revue technique.

Le lecteur est donc un technicien, un décideur ou encore un passionné qui est déjà familier avec le sujet et qui cherche à en apprendre plus sur la question et les acteurs impliqués, à améliorer ses pratiques, à découvrir de nouveaux outils et méthodes et la façon de les utiliser. Il est aussi source d’informations par le partage de ses expériences et par le retour terrain qu’il apporte aux chercheurs en termes de besoins et de problématiques.

Sciences_Eaux_et_territoires_-_Revue_Transfert_et_diffusion_-_IRSTEA.JPG

Sciences Eaux & Territoires est la revue de transfert de l’IRSTEA (ex-Cémagref). © IRSTEA

Le langage des articles est donc très souvent technique et orienté vers l’application des savoirs et technologies ou bien vers la connaissance du milieu d’application, des relations entre les acteurs de ce milieu, etc.

Pour terminer, retrouvez un tableau synthétique de l'UQAM des différences de valeur informative entre ces types de revues, avec une classification légèrement différente :
  • périodique spécialisé (revue scientifique/savante); 
  • périodique professionnel (revue technique/de métier);
  • périodique d'intérêt général (revue d'info/vulgarisation);
  • périodique populaire (revue grand public/magazine).

lundi, février 27 2012

Veille Zones humides S08 : Ramsar, génie écologique et communication

Vous retrouverez ci-dessous l’actualité des zones humides de la semaine S08.

N’hésitez pas à diffuser l’info, à réagir par mail à l’un ou l’autre de ces sujets, ce bulletin de veille hebdo est aussi l’occasion d’apporter des infos, d’approfondir un thème ou d’engager un débat au sein du réseau.

Merci aux veilleurs et bonne lecture !

À noter :

–Le site du Pôle-relais Lagunes méditerranéennes fait peau neuve ! http://www.pole-lagunes.org/

Esc@le, la lettre du Pôle-relais zones humides de l'Atlantique, de la Manche et de la mer du Nord de février 2012, est parue : http://www.forum-marais-atl.com/escale/news/9/escale9.html

–La lettre de Rivages de France est parue (http://www.rivagesdefrance.org/index.php/media/telechargement/e-news/e-news-2012/enews-fevrier-2012) et Rivages est maintenant sur Scoop.it : http://www.scoop.it/t/actualites-littorales
On y retrouve notamment : « Marées vertes : le vrai du faux » http://www.cseb-bretagne.fr/index.php?option=com_remository&Itemid=92&func=fileinfo&id=96 & « Les chasseurs reconnus gestionnaires de la biodiversité par le Sénat » http://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppl10-524.html
–Le palmarès du Grand Prix zones humides et urbanisme est en ligne : http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/brochure%2072%20dpi%20palmares-10FEV-cmjn%20ALLEGEE(1).pdf

Une semaine, un n° de Zones Humides Infos

–ZHI n°66, 2009 : Fonctions et services rendus par les zones humides, rentrons dans le vif du sujet
http://www.snpn.com/spip.php?article902#66

Ramsar

Logo de la convention de Ramsar sur les zones humides

–Les 1ers brouillons de projets de résolutions de la COP11 sont progressivement mis en ligne : http://www.ramsar.org/cda/fr/ramsar-documents-cops-cop11-cop11-drs/main/ramsar/1-31-58-500%5E25607_4000_1__

– Document sur la diversité et les avantages des Comités nationaux Ramsar maintenant disponible.
Le Secrétariat de Ramsar a préparé un document d’information qui illustre certaines des approches très diverses adoptées par les Parties pour créer et gérer des Comités nationaux Ramsar (CNR).
>http://www.ramsar.org/cda/fr/ramsar-news-nrcnews/main/ramsar/1-26%5E25616_4000_1__ 
>http://www.ramsar.org/pdf/strp/NRC_final_fr.pdf

–La convention de Ramsar, un outil diplomatique au service de la paix ?
The Ramsar Convention: A New Window for Environmental Diplomacy?
> PDF source : http://www.uvm.edu/ieds/sites/default/files/Ramsar_IEDSResearchSeries.pdf (96 p.)
> article de présentation en anglais : http://www.newsecuritybeat.org/2012/02/guest-contributor-pamela-griffin-ramsar.html 
Pamela Griffin /  Institute for Environmental Diplomacy and Security (IEDS)

–Le Groupe d’évaluation scientifique et technique lance une nouvelle série de publications : les Briefing Notes.
http://www.ramsar.org/cda/en/ramsar-documents-strp-strp-bn/main/ramsar/1-31-111%5E25610_4000_0__
Ces notes ont pour objectif de diffuser de l’info scientifique et technique sur les zones humides crédible, pertinente et intéressante à une large audience. Moins détaillée que les rapports techniques de Ramsar et dans un langage plus formel, ces notes seront plus accessibles. Les 2 premières notes sont téléchargeables en anglais. Elles portent sur la présentation des dites notes et sur la demande de stockage en eau et les conséquences possibles sur les zones humides.
Elles seront traduites en fonctions des disponibilités.

Génie écologique

Norme Afnor Génie écologique en zone humide : plus que 5 jours pour participer à la consultation publique.
>En ligne, sur le site internet de l’afnor (un peu comme le mode révision de Word avec les commentaires) : http://www.enquetes-publiques.afnor.org/secteur-eau-et-assainissement/pr-nf-x10-900.html

Logo de l'Afnor, agence de normalisation

On peut lire et commenter en ligne les docs sur cette norme. Il faut s’inscrire sur le site en haut à droite : http://www.enquetes-publiques.afnor.org/secteur-eau-et-assainissement/pr-nf-x10-900.html

ATTENTION : il semble y avoir un problème quand l’on est une association

Ensuite, on clique sur « Voir l’enquête » et en faisant défiler le doc, on voit des cadres à chaque paragraphe/tableau : « Ajouter un commentaire » et cliquer sur l’Infobulle qui indique le nombre de commentaires pour les lires.

Par contre il ne faut pas oublier de cliquer sur VALIDER en fin de page nous a préciser l’afnor.

>Hors ligne, en téléchargeant la doc et en transmettant un commentaire structuré, plutôt que plusieurs petits commentaires à chaque paragraphe. (cf. 2e carré de la colonne de droite du site : téléchargement du formulaire (fichier Word) puis téléversement du formulaire rempli).

>En proposant des pièces jointes (je n’ai pas vu comment).

–Le filtre vert du « Tancat de la Pipa » de la zone humide de l’Albufera à valence (Espagne), un traitement supplémentaire des eaux usées urbaines pour le lac d’ Albufera.
Cf. p. 47 de la lettre du RIOB n°20 – décembre 2011-Janvier 2012 http://www.riob.org/pub/RIOB-20/

–Des marais filtrants pour dépolluer les produits dégivrants des aéroports :
Des plantes anti-pollution expérimentées sur les aéroports
http://www.developpement-durable.gouv.fr/Des-plantes-anti-pollution.html
MEDDTL
, 15/02/2012.

Communication

–Des suggestions sur la manière de faire comprendre l’incertitude scientifique aux décideurs :
How to tell policymakers about scientific uncertainty
http://www.scidev.net/en/science-communication/practical-guides/how-to-tell-policymakers-about-scientific-uncertainty-1.html 
Chandrika Nath, 20/01/2012. SciDev.net
Via V. Mauclert / PRZH Lagunes méditerranéennes & S. Hails / responsable programme CESP Ramsar

– Rhizobiome / le Réseau Sagne se présente : historique, à quoi ça sert, comment ça marche, à qui ça s'adresse
http://www.rhizobiome.coop/spip.php?rubrique51 

–Dossier de Presse de la 18e Fréquence Grenouille : http://min.us/mblwq2MqCt

Divers

–Diaporama d’O. Scher : Lagunes dans les glaces 
http://olivierscher.net/feelings/Lagunes/Lagunes.html

Bassin méditerranéen : perte de moitié de la superficie des zones humides par rapport à 1900
http://www.actu-environnement.com/ae/news/observatoire-zones-humides-mediterranee-rapport-biodiversite-15023.php4 
R. Boughriet, 22/02/2012. Actu-Environnement

–En Angleterre, le butor étoilé va mieux :
Bitterns: the endangered birds whose population is booming at last
http://www.guardian.co.uk/environment/2012/feb/12/bittern-population-booming?CMP=twt_gu 
A. McKie, 12/02/2012. The Guardian

–Article Les Barthes de Villefranque (64) : la maîtrise foncière au service de la préservation des zones humides
http://www.saferaa.fr/website/datadev/article/file/1742580170441642010/lettre_612.pdf
in La lettre des élus / Safer Aquitaine Atlantique n°6 – février 2012, p.1-2.

Publication

–Guide québécois :
Manuel d'accompagnement pour la mise en valeur de la biodiversité des cours d'eau en milieu agricole
http://www.coursdeauagricoles.ca/

– Actes du colloque sur les enjeux environnementaux et socio-économiques en baie de Somme
http://www.baiedesomme.org/actu/images_docs/actu/docs/2012-01-10_Actes-du-COLLOQUE-BAIE-DE-SOMME.pdf

Premier rapport technique sur les zones humides dans le bassin méditerranéen
http://www.zones-humides.eaufrance.fr/?q=node/2668

Science

Integrated Marsh Management (IMM): a new perspective on mosquito control and best management practices for salt marsh restoration
http://www.springerlink.com/content/v330141526727743/ 
Ilia Rochlin, Mary-Jane James-Pirri, Susan C. Adamowicz, Roger J. Wolfe, Paul Capotosto, Mary E. Dempsey, Thomas Iwanejko & Dominick V. Ninivaggi
Wetlands Ecology And Management
DOI: 10.1007/s11273-012-9251-9

Crop size as an index of chick provisioning in the Greater Flamingo Phoenicopterus roseus
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1474-919X.2012.01218.x/abstract;jsessionid=F94322FEF38903DC67A039B45BDE472C.d02t02 
MIGUEL A. RENDÓN, ARACELI GARRIDO, JOSÉ C. GUERRERO, MANUEL RENDÓN-MARTOS & JUAN A. AMAT, 20/02/2012.
DOI: 10.1111/j.1474-919X.2012.01218.x

Emploi

–Stage Inventaire et cartographie détaillée de la végétation des zones humides du Queyras http://www.tela-botanica.org/actu/article4909.html

–Emploi de Technicien(ne) zones humides  http://gesteau.eaufrance.fr/annonce/technicienne-zones-humides

– Chargé(e) d’études : « Actualisation de l’inventaire Zones Humides 74 »
http://www.sfecologie.org/ecodiff/2012/02/23/actualisation-de-linventaire-zones-humides-de-haute-savoie/

Merci d’indiquer la source en cas de réutilisation (nom indiqué ou Veille Zones Humides Infos/SNPN).

lundi, janvier 9 2012

Utiliser une page Facebook pour valoriser votre contenu - Un excellent document !

    Le billet sur la création d'une page Facebook est l'un des plus consulté de ce blog. Hélas, avec les très nombreux changements de FB depuis l'arrivée de Google+ dans le paysage des réseaux sociaux, celui-ci est devenu obsolète pour une grande part.

    Ce n'est pas grave car je viens de découvrir le document ci-dessous qui est extrêmement bien fait et complet, sans avoir cet arrière goût markéting du "Je vais vous faire gagner des millions". Non, Présence des bibliothèques sur Facebook - Enjeux et questions, pratiques et retour d'expérience d'Alain Marois est très pragmatique et didactique.

    La première partie fait le point sur les médias, pardon, les réseaux sociaux, histoire de préciser le contexte et de montrer l'importance d'avoir une présence sur ces réseaux, en particulier Facebook.

    La deuxième est, pour moi, beaucoup plus intéressante car elle traite concrètement de la façon de créer, configurer, administrer, animer la page Facebook, le tout émaillé d'exemples et de bonnes pratiques appliqués aux monde des bibliothèques (universitaires, médiathèques, etc.). La cerise sur le gâteau ? La promotion IRL (in real life, dans le monde réel) des pages ainsi créées.

    Bref, tout ce qu'il faut pour créer, mais surtout utiliser de manière intelligente et astucieuse une page Facebook destinée à être au service des usages (de bibliothèques ou autres) et à valoriser un contenu documentaire et informationnel.

    Bonne lecture ! Quant à moi, il ne me reste plus qu'à prendre le temps d'appliquer toutes ces bonnes idées à la page Facebook de ce blog. ;)

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