Durablement - Réseau & écriture pour la nature

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Milieu professionel & Emploi


    Le monde professionnel de l'environnement et du développement durable à travers mon projet pro et ma stratégie de recherche d'emploi.

    Vous retrouverez une analyse de ce marché du travail ainsi qu'un port-folio de mes réalisations et de mes compétences.


   

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mardi, novembre 1 2011

Chargé de mission "Zones Humides Infos" : de la coordination de projet collaboratif

La coordination de projet coopératif, vous connaissez ?

Surement, au moins l’un de ses produits : les logiciels libres (open source) ou, si vous êtes des habitués de la plateforme Régionsjob, les débats du mois et leurs synthèses.

Plus de précisions ? Avec plaisir. Comme je l’expliquais récemment, j’exerce à présent les fonctions de chargé de mission “Zones Humides Infos” à la SNPN. Zones Humides Infos, ou ZHI, c’est une revue sur, comme son nom l’indique, un type particulier de milieu aquatique. C’est surtout le bulletin du Groupe Zones humide informel (GZHI), le fruit d’un travail coopératif d’experts bénévoles très impliqués dans les zones humides.

C’est là toute la spécificité du projet.

Couverture de la revue collaborative

Zones Humides Infos, une œuvre collaborative © SNPN

Une gestion de projet traditionnelle est basée sur une économie de la rareté (autrement dit, comme notre système économique). C’est donc dans la maîtrise des ressources et des contraintes que tout se joue. Ce type de fonctionnement est parfait pour de grands projets industrielles ou technologies (avion, TGV, pont…) qui engagent et impactent très fortement un grand nombre de personnes.

Ici, il s’agit au contraire de projet coopératif. On fonctionne alors non pas dans une économie de la rareté, mais dans une économie de l’abondance. Ça existe, ce type d’économie ? Tout à fait, en particulier dans le domaine des œuvres intellectuelles ou numériques.

C’est le fameux :

Si je te donne un pomme, je ne l’ai ai plus. Si tu la consommes, tu n’en as plus.
Si je te donne une idée, nous avons tous les deux cette idée. Si nous l’utilisons, nous l’avons toujours.

Dans ce type de système, la clef est de gérer non pas les ressources et les contraintes, mais les opportunités. Et cette gestion passe par les personnes, par un réseau qu’il faut animer.

C’est ainsi que s’élabore chaque numéro thématique de ZHI : j’anime une tête de réseau, le GZHI, je recherche des contributeurs bénévoles (rédacteurs, photographes, relecteurs…) en étroite collaboration avec le groupe, rassemble leur travail et –à la fois secrétaire de rédaction et maquettiste– transforme ces connaissances / réflexions / expériences individuelles en un produit de savoir collectif, le numéro de Zones Humides Infos.

Nous construisons donc, par la mise en œuvre d’une intelligence collective, un savoir collectif formalisé qui s’exprime au travers des bulletins du Groupe Zones humide.

dimanche, août 21 2011

Blogus hiatus

    8 mois déjà. Pas un seul nouveau billet. Cela me démangeait pourtant. Pas le temps, pas d’ordinateur, pas d’internet.

Pause – Redémarrage. © Stéphane PF de PassionFusion CC by-nd 2.0

    C’est que cela a bougé depuis le dernier billet de veille environnemental, en décembre 2010 :
  • Un marathon d’entretiens, pour lesquels je remercie la SNCF qui n’a pas été une seule fois à l’heure, qui roule en hiver sans chauffage, qui m’a bloqué 9 h en milieu de voie pour un retard total de 15 h et pour seule explication : il y avait de la neige. On ne rembourse pas. Fermons ici la parenthèse, les entretiens ayant été honorés ;
  • Un voyage à Hong Kong, premier pays d’Asie que je visite. Intéressant et surprenant, avec de bonnes idées pour l’urbanisme durable et une gabegie énergétique (on croise des réverbères allumés dans la jungle o_O) ;
  • Un CDI ! Je coordonne désormais des projets coopératifs (une revue thématique : Zones Humides Infos) au côté d’un réseau d’experts et au sein de la plus vieille association de protection de la nature de France, la Société nationale de protection de la nature (SNPN), fondée en… 1854 !
  • Un déménagement sur Paris. Pas facile de se loger là-bas, mais je n’apprends rien à personne ;)
     Bon, tout ceci réalisé (ou presque, je n’ai toujours pas d’accès aux télécoms, une histoire ubuesque de syndic’). Bref, des semaines bien remplies. Un regret cependant, ce blog laissé en friche où ne passent que des spammeurs effrontés. Maintenant que les choses se tassent, je reviens jardiner Durablement, sans doute avec une ligne éditoriale différente.
    Au plaisir d’échanger à nouveau avec vous !

mercredi, mars 31 2010

L'université et l'insertion des jeunes diplômés

    Le jeune diplômé est transitoire, c’est un ancien étudiant et il est appelé, il aspire à devenir un travailleur qui ne serait plus désigné comme un jeune diplômé. Pour cela, il a du réussir ses études et il doit trouver ses premiers emplois.

    Le hic, c’est qu’à l’université (à l’exception des IUT et IUP), réussite aux études (le diplôme) et insertion professionnelle sont souvent déconnectées. L’une des raisons est l’absence de préparation des étudiants à la recherche de l’emploi et à la professionnalisation. On y apprend des connaissances quand les employeurs recherchent des compétences, on développe l’autonomie quand le réseau ouvre des portes.

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lundi, mars 8 2010

Sol: l'acidification par les engrais en Chine

    Les sols chinois, ressources vitales pour nourrir plus d’un milliard de personnes, sont menacés par l’acidification. Des chercheurs chinois tirent la sonnette d’alarme sur les conséquences de l’usage massif d’engrais qui, de fertilisants, deviennent des poisons.

Lire la suite sur Futura-Sciences...

Paysan chinois dans ses cultures

Paysan chinois surveillant sa riziculture. Crédit: Harry Huang CC by-nc-nd

    La destruction des capacités agronomiques des sols à force d'engrais et d'agriculture intensive pourrait avoir des conséquences dramatiques pour les 1,6 milliard de chinois.

mardi, octobre 27 2009

Blogueur, quels sont tes ressorts ?

    Je suis blogueur. Il y a deux ans, je ne savais même pas ce que c'était, encore moins le web2.0 ou les réseaux sociaux.

    Comment suis-je en arrivé là, alors ? Pourquoi je continue à bloguer et comment j'ai appris à le faire ?

Pourquoi bloguer ?

Crédit inconnu

    En fait, j'ai commencé à écrire bien avant de connaître les blogs. Ça m'aidait à formaliser mes pensées, à mémoriser les nouvelles connaissances, à conserver mes idées et des infos diverses, à expliquer mes opinions et mes choix, à partager mes passions. Voilà pourquoi j'écris. Écrire, c'est bien, être lu, c'est mieux :)   Petit à petit, j'ai donc rejoints un journal étudiant, j'y ai pris de l'assurance et du plaisir à écrire. C'est là que j'ai fait mes premières armes de rédacteurs.

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dimanche, octobre 11 2009

Le CV créatif et 100% écolo d'une Jeune Pousse

Je viens de découvrir ce CV original chez ELAEE, et il ne pouvait que me plaire :D

Enveloppe et papier recyclés, concept graphique "vert", slogan engagé "Faites un geste pour votre entreprise, plantez une jeune pousse et sauvez la planète de la crise", le tout accompagné d'un sachet de graines.

Un exemple de CV original et bio, avec son petit sachet de graines

Vous cherchez une conceptrice-rédactrice-journaliste web ? Pensez à cette jeune pousse !


Crédit photo: Elaee

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