Pêche au chalut : pas si destructeur que cela ? [Brève]
Par Gregoire Macqueron le vendredi, novembre 26 2010, 17:10 - Environnement & Développement durable - Lien permanent
Bien que réputé comme la pêche la plus destructrice, le chalutage favoriserait en fait la formation de nouveaux habitats sur les fonds sédimentaires.
L’ONG The Nature Conservancy a lancé l’an dernier une étude sur l’impact écologique de la pêche au chalut. L’objectif était de découvrir l’impact réel de cette pêche pour déterminer un mode d’exploitation durable.
Schéma de la pratique du chalutage : le chalut, peu sélectif, capture toutes les espèces benthiques et ravage le fond des mers. © National Oceanic and Atmospheric Administration, domaine public
Après un an d’exploitation intensive d’un milieu jusque-là plutôt préservé, il apparaît que la faune benthique se porte bien, et même mieux. Les observations montrent quantité d’organismes (requins, pieuvres, etc.) aux abords des coups de chalut passés.
Sujata Gupta, 26/11/2010. Californian conservationists go trawl fishing
http://www.newscientist.com/article/mg20827883.500-conservationists-go-trawl-fishing.html
L’ONG The Nature Conservancy a lancé l’an dernier une étude sur l’impact écologique de la pêche au chalut. L’objectif était de découvrir l’impact réel de cette pêche pour déterminer un mode d’exploitation durable.
Après un an d’exploitation intensive d’un milieu jusque-là plutôt préservé, il apparaît que la faune benthique se porte bien, et même mieux. Les observations montrent quantité d’organismes (requins, pieuvres, etc.) aux abords des coups de chalut passés.
Supplément :
Retrouver la galerie de New Scientist sur la vie après le chalut.Source
Communiqué de presse en anglais du New Scientist :Sujata Gupta, 26/11/2010. Californian conservationists go trawl fishing
http://www.newscientist.com/article/mg20827883.500-conservationists-go-trawl-fishing.html