Les zones tampons autour des champs protègent à la fois les sols, les eaux et les écosystèmes contre l’érosion, les engrais et les pesticides. Des chercheurs américains révèlent qu’à ces avantages s’ajoute désormais la filtration des antibiotiques vétérinaires. Un argument de plus pour favoriser la généralisation de ces espaces dans le milieu agricole.

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Schéma de la structure et du fonctionnement d’une zone tampon. © Alain Gallien